HtmlToText
bienvenue sur mon blog le mérens 31 juillet 2007 taille la taille moyenne adulte souhaitée est de 1,49m pour les mâles et de 1,45m pour les femmelles. le cheval frison lui ressemble beaucoup cheval frison posté dans non classé | 1 commentaire » leponey français de selle 31 juillet 2007 le poney français de selle est le résultat du croisement entre des ponettes d’origine française, inscrites au livre généalogique français des races de poneys, avec notamment des étalons arabes ou de race de poneys telles que le connemara, le new-forest et le welsh. morphologie de taille variant de 1,25 à 1,48 m, le poney français de selle est un véritable petit cheval de selle alliant la rusticité du poney et les allures du cheval. il doit avoir une poitrine large, une bonne épaule, un garrot bien sorti. il doit être bon porteur, harmonieux, équilibré et distingué, tout en faisant preuve d’un bon caractère. toutes les robes sont admises. les effectifs les immatriculations de poneys français de selle sont passées de 95 en 1977 à près de 1300 en 2000. aujourd’hui et ceci depuis 1997 ce nombre connaît un léger tassement. l’utilisation ce poney polyvalent est utilisé pour la compétition (concours d’obstacles, concours complet, dressage) ou pour l’équitation de loisir (promenade, randonnée, attelage) et les courses de poneys. posté dans non classé | aucun commentaire » le prejevalski 31 juillet 2007 le berceau de la race serait la région des monts tachin shara nura ( les monts du cheval jaune ) aux confins du désert de gobi. il était répandu dans toute la zone des steppes d’asie centrale et orientale. l’aire de distribution du cheval de prjevalski, appelé aussi kertag , se limite aujourd’hui aux steppes de mongolie, au désert de gobi et à l’altaï, région montagneuse frontière entre la mongolie et la chine du nord. cette chute colossale de ses effectifs est due principalement aux pasteurs nomades, qui avaient besoin d’eau et de pâturages pour leurs troupeaux. a l’origine, le cheval de prjevalski vivait donc dans d’immenses prairies qu’il parcourait en hardes nombreuses. mais au fil des siècles, il fut peu à peu repoussé vers les étendues semi-désertiques situées de part et d’autre de l’altaï. et sa population ne cessa dès lors de s’amenuiser. la deuxième cause est la chasse : en effet, il y a des dizaines de milliers d’années, le cheval sauvage était un gibier pour les chasseurs primitifs. ce cheval, demeuré très proche de son ancêtre l’equus caballus du pléistocène, a servi de monture aux huns et aux chinois. il est considéré comme étant l’ancêtre du cheval domestique, bien qu’il appartienne à une race non domestiquée. ce cheval dont nikolaï mikhaïlovitch przewalski découvrit les restes dans les monts altaï, vers 1880, et à qui fut donné le nom de cet officier du tsar et explorateur russe, allait être identifié comme le plus ancien d’une race primitive, sauvage. l’allemand hagenbeck en retrouvera, 20 ans plus tard, des spécimens vivants grâce à l’aide des nomades kirghiz qui connaissaient ce cheval depuis longtemps. le cheval de prjevalski est aujourd’hui en voie de disparition bien qu’il se reproduise en captivité : on en dénombre environ 1000 dans les parcs zoologiques. les derniers chevaux de prjevalski vivant à l’état sauvage on été aperçus en 1968 ; on ignore s’il en reste encore. donc depuis plusieurs années, le cheval de prjevalski est réimplanté dans son pays d’origine : la mongolie, ou plus précisément dans la réserve de hustain nuruu, qui compte bientôt s’ouvrir au tourisme, sans pour autant perturber ses occupants…qui reviennent de loin ! après avoir complètement disparu de mongolie, le cheval de prjevalski galope de nouveau librement sur sa terre natale. quoi qu’il en soit, le programme de réimplatation des prjevalski a commencé en 1992. depuis, tous les 2 ans, un avion cargo se pose sur l’aéroport d’oulan-bator avec, à son bord, des poulains âgés de 2 à 3 ans. les chevaux sont ensuite convoyés par camion à une centaine de kilomètres à l’ouest de la capitale mongole, jusuq’à la réserve de hustain nuruu qui s’étale sur 50000 hectares. plus de 80 chevaux sur un total de 1450 dans le monde entier, vivent déjà là-bas. plus d’un tiers de ces chevaux sont nés dans la réserve. ils se sont donc parfaitement adaptés même si, chaque année, plusieurs poulains sont dévorés par les loups gris. mais cela fait partie de la loi de la nature… description. le cheval de prjevalski est très certainement à l’origine de toutes les races actuelles et il possède des caractéristiques du cheval préhistorique . sa taille varie entre 123 cm et 145 cm ; son poids est d’environ 350 kg. il a une très grosse tête avec un profil rectiligne et le front large. sa mâchoire est massive et possède des molaires particulièrement larges. ses oreilles sont longues tandis que ses yeux en amandes sont petits. son bout du nez est plus clair (voire blanc) que sa robe. sa robe d’été est généralement isabelle, elle peut aussi être louvet, avec les membres et les crins foncés. souvent on lui trouve des zébrures aux extrémités et une raie de mulet noire, caractéristique. sa robe d’hiver est plus claire mais le pelage est long et bien fourni. son encolure large et courte porte une crinière touffue, courte et très drue, sans toupet sur le front. sa morphologie est de type médioligne : son garrot n’est pas très relevé et la ligne dorsolombaire droite, assez longue. le dos et les reins sont forts et la croupe oblique, laissant place à une queue attachée bas, dont les poils ne poussent que sur les cotés. les membres sont courts mais solides grâce à une bonne ossature. les paturons sont plutôt courts et le sabot est très allongé. avec son épaule droite et son thorax profond, il est très fort et résistant ; enfin, il possède un caractère courageux et énergique. posté dans non classé | aucun commentaire » le new forest 30 juillet 2007 talle :1m53 à1m60 posté dans non classé | aucun commentaire » le tenesse walking horse 30 juillet 2007 tennessee walking horse, twh, tennessee walker, « plantation bred natural single footing walking horse » : race initiée à la fin du 18e par les nouveaux colons installés massivement au tennessee, missouri et kentucky, à la recherche d’une race de travail très confortable dans les plantations ; les ancètres du tennessee walking horse ont été un mélange, pendant tout le 19e siècle, de narragansett pacer (race éteinte, l’ancêtre de toutes les races d’allure américaines), de canadian pacer, de pur-sang, de morgan, de saddlebred et de standardbred. au tennessee, ce mélange a été appelé turn-row horse, southern plantation, tennessee pacer, walker, walking horse, etc. l’un des étalons fondateurs a été black allan, né en 1886 d’un standardbred trotter et d’une jument morgan, et qui a transmis son pas particulier à toute sa descendance : ce sera le running walk. le tennessee walker possède 3 allures intermédiaires, à demi posées et sautées : le running walk (un pas rapide et dissocié, commode, rapide et très ample) ; le flat foot walk (un pas lent et glissé) et le rocking chair canter (un petit galop rassemblé et confortable). ses autres caractéristiques sont sa queue portée articiellement droite par myotomie ou névrotomie, et sa posture campée, comme le saddlebred dont il descend. le tennessee walker peut être présenté dans des épreuves de modèle et allures « performance » ou « flat shod » (ferrure plate). dans les épreuves « performance », les chevaux développent un running walk très spectaculaire appelé « big lick », où ils sont littéralement assis sur leur arrière main avec une action très relevée des antérieurs. pour créer ces actions spectaculaires on leur met aux antérieurs des cales spéciales qui ressemblent à des plate-formes, des chaines autour des paturons et la queue est portée articificiellement haute par myotomie. les épreuves « flat shod » interdisent les cales, les chaines et la myotomie de queue mais autorisent des fers alourdis dans les classes plantation shod ; les classes li